Optimisme...
Marchant dans la rue bruyante,
Mon frère, des tristes idées te hantent,
Ne faisant plus attention à rien,
Tu marches, avec comme horizon, le loin…
Tu cherches, dans ta vie, la réussite,
Tu t’y concevras comme le parasite,
Tu voudrais, qu’enfin, on te comprenne,
Tu voudrais, enfin, fuir la haine…
Tu demandes juste de l’attention,
Sans cesse, tu vis en la désillusion,
Un peu d’amour, il te faudrait,
Mais pourrais-tu, enfin, le retrouver ???
Ton méandre est cette terre,
Mais, crois-le, je te comprends mon frère,
N’abandonne, cependant, en aucun cas,
La vie pouvant t’aimer, parfois…